Le Premier Ministre du Bhoutan déclarait l’an dernier à l’ONU “notre planète a un besoin impérieux d’une économie qui soit au service du bien-être et du bonheur des êtres humains”. Ce petit pays est le seul au monde à avoir inscrit le bonheur de ses 700 000 habitants au cœur des politiques publiques et la Commission du Bonheur National Brut veille au grain. A noter tout de même que l’Assemblée Générale de l’ONU a adopté une résolution qui fait du 20 mars la Journée Internationale du Bonheur.
Il est vrai que cette notion émanant d’un si petit pays a dû paraître un peu (très!) exotique et très éloignée du ‘produire toujours plus’. Et pourtant cette notion a fait son chemin et se propage de plus en plus.
Ainsi, depuis quelques années un nouveau métier a vu le jour dans la Silicon Valley et s’est exporté jusque dans nos entreprises françaises: Chief Happiness Officer ou CHO, le Directeur du Bonheur.
Merci au Bhoutan.
Il faut dire que toutes les études le confirment: augmenter le bonheur et le bien-être des employés, c’est bon pour le porte-monnaie de l’entreprise (et forcément de l’Etat!). Des employés heureux sont plus productifs, plus engagés, et ils restent. Pourquoi chercher ailleurs s’ils sont heureux là où ils sont! Et s’ils sont heureux, ils s’absentent moins.
Suite à un rapport Terra Nova (octobre 2016, INRS/Arts et Métiers Paris Tech, Gallup, Eurofound), le Parisien du 24 octobre titrait “La qualité de vie au travail, source de compétitivité. La compétitivité ne dépend pas seulement du coût du travail. Certaines enquêtes montrent que des conditions de travail favorables améliorent l’investissement des salariés et les performances économiques des entreprises”. Le bien-être des employés dépend de plusieurs facteurs: conditions et organisation du travail, autonomie et reconnaissance, dialogue social, ambiance et santé.
Voyons les chiffres: lorsque l’investissement au travail des employés est le plus fort, les entreprises récoltent une productivité 21% plus élevée, un absentéisme 37% plus faible, des accidents du travail 48% moins nombreux. En France, les effets du stress au travail représentent un manque à gagner pour l’économie de 2,3 à 3,3 millards d’euros. 1 € investi dans la prévention des risques pour la santé mentale, physique et sociale dans les entreprises génère 1 à 13 € d’économies (baisse d’absentéisme, hausse de productivité, etc.).
Alors le Yoga dans tout ça? Là aussi, toutes les études le disent: le Yoga rend heureux.
Les asanas (mouvements) défond les TCM (tensions musculo-squelettiques), soulage les tensions oculaires face aux écrans, corrige la posture, donne de l’énergie, aide la gestion des émotions et du stress par la simple respiration. Le Yoga en entreprise est un outil d’aide au bien-être, simple, concret, applicable immédiatement, qui vise à améliorer la qualité de vie au travail et la qualité de la présence au travail. L’apaisement du corps et du mental engendre un bien-être qui améliore la qualité relationnelle entre les employés.
Introduire le Yoga dans son entreprise, c’est donner l’image d’une entreprise responsable.
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Om Shanti,